Même s’il porte un prénom assez courant du côté de Charleroi, Roch Pirmez est un enfant du Congo. Et là-bas comme au Pays Noir, il semblerait qu’on lui ait appris à ne rien jeter. D’où le pari de se lancer dans la culture du colza et de valoriser, en bio s’il vous plaît, l’ensemble de ses sous-produits. Une fois extraite l’huile et autre vinaigrette qui ensoleillent les étals de Paysans-Artisans, reste 75% de la plante. Un tiers file dans la chaudière qui alimente le circuit de fabrication d’huile. Les deux autres finissent sous forme de tourteaux dans le ventre des cochons bios élevés par Roch Pirmez. Dans le colza tout est bon !