Diététicienne. Et épicurienne. – Stéphanie a commencé dans sa maison. Pour elle. Et pour ses enfants. Parce qu’elle voulait des 10H accessibles, bons. Et sans trucages. C’est réussi. Et c’est maintenant disponible en circuit court.
Début 2010 : fait des tests « maison », à la maison. Pour sa petite famille. Et quelques amies.
2016 : après de nombreux retours positifs, se lance pleinement en tant que productrice !
Leurs compositions.
Au final, les Super Bon energy balls sont :
Sans aucun sucre ajouté : pas de miel, ni de nectar de fleur de quoique ce soit. Encore moins de sirops d’aucune sorte qui, bio ou pas, restent des produits transformés et qui ont perdu leurs qualités nutritionnelles. Bref, il y n’a que le sucre naturel du fruit (il y en a juste le nécessaire dans la version spéculoos – du sucre de coco non raffiné).
Sans gluten.
Sans farine, sans amidon et sans liant : parce que le juste dosage des ingrédients permet d’obtenir la bonne consistance et évite ainsi l’ajout d’ingrédients qui n’apportent rien nutritionnellement parlant. Les ingrédients sont choisis les plus bruts possibles. Ils ne sont donc pas enrobés de quoi que ce soit.
Sans céréales: pour garder un juste équilibre nutritionnel.
Sans aucun produit d’origine animale (à l’exception de la saveur spéculoos) : pour respecter les valeurs de chacun.
Sans additifs, sans conservateurs, sans arômes mêmes dits naturel et sans colorants et autres subterfuges qui modifient le goût, la couleur, la texture. Ni lécithine, cet émulsifiant qui , même bio, reste controversé: chez Super Bon, pas d’artifice, pas de déguisement, juste des ingrédients natures.
Sans huile de palme, mais aussi sans huile detournesol :si les valeurs écologiques sont désormais évidentes pour la première, peu de gens connaissent les inconvénients de l’huile de tournesol. Celle-ci, en plus d’être abondamment présente dans notre alimentation quotidienne, elle est utilisée de manière massive dans l’industrie alimentaire. Sa richesse en oméga-6 est intéressante mais pro-inflammatoire en excès. Ce n’est donc pas la peine d’en ajouter.