De nos jours, les cressonnières se font de plus en plus rares. D’une part, car les terres marécageuses se rarifient en Belgique et d’autre part, c’est un travail fastidieux qui demande beaucoup de temps.
La culture du cresson nécessite beaucoup d’attention et de temps de travail manuel. Néanmoins, Christophe trouve toujours du temps pour nettoyer, semer, désherber et récolter ses cultures de cressons. Grace à ses trois sites de productions, il est capable de produire et fournir du cresson de fontaine pendant presque toute l’année. Les cressons de Christophe ne sont pas produits en bio. Mais d’ici quelques années, il espère obtenir la certification. D’ici-là, il continue d’utiliser des produits chimiques avec parcimonie, seulement quand certains insectes menacent les plantes.